ARTISTE

Texte de LUCYE RAYE.

Image internet.reçu de Liliane 03/08/2016 - 8000 VUES :commentaires et photos !

                                          ARTISTE .

 

Ecrire les maux avec  les chairs brûlantes

Vider ses entrailles,son cœur à nu ,écorché

Offrir son âme sans réticence et consentante

 Une concentration dans le vif à l'arraché;

 

Le poète explore ses plus secrètes sensualités

      Ses souffrances, ses joies et ses fantasmes

          Ses misères , le mal être de la société

Il libère en vague de mots  tous ses spasmes !

 

L'artiste avec sa plume ,son burin ou son pinceau

                          Sue de toutes ses eaux

Pour  peaufiner sa toile , sa sculpture ou son sonnet

 

           Ce sera toujours une oeuvre à faire valoir

Plus de jour ni de nuit,il travaille même dans le noir 

De toute sa sincérité : Toujours à l'affût d'une originalité...

 

**19/05/2016 - FORUM NOUVELLE PAGE 19 MAI 2016.

"La nuit serait le jour  

 Le matin serait le soir   

 Le jour serait plus court ,

 L'après-midi serait l'espoir" !DE EVELYNE  ( texte numéro 48)

 

 

*****Commentaire

Claudine Marchais Dendraël Il est vrai que l'âme des poètes est principalement leur propre muse s'inspirant de divers évènements, de leur encre divine, ils donnent leur entendement ! merci Lucie Mayot Crescence pour le partage !

 

 

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Thierry Titiyab Malet (mercredi, 03 août 2016 08:04)

    Que se soit dans la matinée ou en soirée
    Toi tu nous combles en chaque sonnet !
    Le monde ne tourne plus dans le bon sens
    Nous lévitons bien au dessus : obsolescence
    Nos plumes crachent leurs derniers maux
    Nous ne saurions rivaliser avec tous ses sots
    Pourtant de peine nous récrions, nous prions
    Pour que la paix revienne, nous les supplions
    D'épargner nos enfants et d'égorger la haine
    Au lieu de cela, ils se complaisent et dégainent
    Le monde ne tourne plus vraiment en rond
    Des hommes tuent la foi, s'alliant au démon!
    Ta plume file sur le papier, effaçant les peines
    Nos mots s'entrechoquent, et tirent la sirène