VENT D'AIMER

VENT D'AIMER .

 

Une fine bruine tape contre les carreaux

Les arbres se sculptent à peine humides

Des coeurs pleurent avec le brouillard fluide

L'alizé me parle tout haut :

 

Les paroles sifflantes atteignent mes vibrations

Mes sanglots ont rejoint ce tumulte

Les retenir avant la chute ,que je les exulte !

Ce vent pluvieux veut éclater ma passion

 

Tout vibre dans ma demeure

Tous mes sens s'interrogent sur le verbe aimer

La nature ne peut résister

Elle s'embrasse pour un fragile bonheur

 

Le plaisir de désirer avec la musique de l'air

Fait vibrer les vers de mon univers .

 

LUCYE RAYE 17 novembre 2017

 

Toujours un vrai plaisir de recevoir vos messages et vos photos qui embellissent mes pages.

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Photo de Coco

Message d'une lectrice le 17 /12/2017 Je viens de relire Vent d'aimer! J'aime bien la sensation de la pluie qui accompagne tes vibrations et augmente tes interrogations sur la plus importante des questions celle de l'amour! Bravo ma poétesse préférée! 

 

Message de Béatrice le 27/11/2017  Message: Magnifique

Le verbe aimer est infiniment grand universel
L'amour de son prochain, de ses proches , celui que l'ont donne à son aimé.
l'amour filiale
mère enfant, père enfant.
comme l'amitié il mûrit au fil du temps
douce nuit amicalement
Béa

MESSAGE DE MADO 19/11/2017 .Message: Salut ma Belle, oui je l'avais vu mais sans laisser de message...Bisous

Message: Quel paysage ! Merci de nous faire vibrer. Beau week end 🌺 Patricia

 

Message Evelyne 18 /11/2017 

Légèreté , sincérité

vibrations  , émotions

et belle décoration ....

Merci Lucie !

 

 

 

Photo et message de Coco Merciii superbe poème Lucie bon week-end bisous

 

Message de Martine : Magnifique univers  !

Merci Lucye

Tu me fais virer...

Amitiés poétiques

 

De Sabucco Message: J'ai vibré en parcourant ce poème et ce fut un plaisir de délectation.

Message de Thierry : Scène d’antan !

 

Dehors le temps s'acharne sur le filaos

Un son de cloche arrive à mes oreilles

J'ai si froid, tout mon corps tressaille

 

La maisonnée est encore endormie

Le café passe lentement et caracole

En des flop-flop en la vieille casserole

 

Sur laquelle j'avais suspendu un tamis

Une vieille Grègue piquée pas des clous (ou koné)

Celle-ci vite oublié depuis des décennies

 

Un chien aboie au loin, la nuit s'étire!

Mon dieu, qu'il fait bon d'être au chaud

Comme il est doux de ressentir la vie

 

Celle là même qui coule en nos veines

Telle cette passion qui me lie à toi !

Oh mon aimée, je ressens tes envies

 

L’odeur de la terre battue en la case

Exulte me sens, je me sens si béa

Le bonheur est parfois si simple

 

Mes gestes sont encore maladroits

Dans l’âtre, je remets du petit bois

Les petits crépitements résonnent

 

Remonte à moi à travers ce conduit

Bientôt, tout contre moi, tu seras !

Tous deux blottis sur le vieux sofa

 

Thierry Titiyab Malet (le 17 nov 2017)

« ainsi va la vie »